In de Messager de Gand van 4 november 1847 lazen we een artikel over het Sint-Stefanusretabel uit de Sint-Bartholomeuskerk van Korbeek-Dijle:
M. Mathieu, directeur de l’Académie des beaux-arts de Louvain, vient de découvrir dans l’église de Corbeek-Dyle un monument de la plus haute importance pour l’histoire de l’art belge. C’est un retable composé de six panneaux qui, en se fermant, couvrent différentes niches contenant des sculptures en bois doré. Les sujets des douze tableaux (car les panneaux sont peints des deux côtés), ainsi que ceux des sculptures, représentent la légende de Saint-Etienne.
Ces différentes peintures datent de la fin du quatorzième siècle. Elles sont peintes en détrempe, et le dessin en est d’une si merveilleuse beauté que, pour trouver des figures d’évêques, aussi belles que celles qui y sont représentées, il faudrait sans exagération aucune, remonter jusqu’à la Dispute du Saint Sacrement, de Raphaël. M. Mathieu a pris le calque de plusieurs groupes; il se propose de l’envoyer incessamment au gouvernement avec un rapport complet sur la valeur artistique et historique de cette inappréciable découverte.
Het Sint-Stefanusretabel is jonger dan Lambert Mathieu dacht. Het werd in 1522 vervaardigd. Aan de woorden van bewondering durven we wel niet te twijfelen! Gelukkig bleef het kunstwerk bewaard, toen in 1858 de oude kerk van Korbeek-Dijle afbrandde.
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| Het Sint-Stefanusretabel uit Korbeek-Dijle, naast het Dispuut over het Heilige Sacrament van Rafaël. Volgens Lambert Mathieu zijn de twee kunstwerken vergelijkbaar in schoonheid. | |
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